La reproduction lui permet de faire ses premières armes mais c'est surtout dans un esprit de « pèlerinage » que l'artiste revisite ces grands classiques. Il considère chaque reproduction comme une chance de suivre les pas des grands maîtres mais toujours avec une grande humilité devant les originaux.
Urano's drop - reproduction d'après Luis Royo
La jeune fille à la perle - reproduction d'après Johannes Vermeer
Dessin au crayon graphite Portrait de Naomi Watts
Collection Fantaisie Vénitienne
Actuellement, la collection ouvre un regard plus large sur Venise la Sérénissime. Elle laisse à découvrir l’atmosphère et les couleurs de ruelles étroites, elle invite le spectateur à laisser son regard voyager dans les profonds reflets de ses canaux qui se ressemblent et se complètent au détour des différents points de vue.
Bientôt, une collaboration se créée avec un autre artiste peintre sur la thématique des masques de Venise au travers de la réalisation de tableaux à "quatre mains". Cette pratique est assez rare, car il s'agit d'un partage et d'un échange autour d'une même toile et d'un vrai travail à deux sur le même tableau. Les toiles issues de cette collaboration sont riches en couleurs et en relief. Elles permettent aux auteurs de laisser libre cours à leur imagination en s'appuyant sur des fonds abstraits tout en interrogeant le spectateur sur la réalité des rapports humains par le biais de la thématique des masques.
Le désespéré - reproduction d'après Gustave Courbet
Collection Illusion Vénitienne
Par la suite, Christophe se dirige naturellement vers la peinture pour mettre un peu de couleur dans ses créations. Toujours animé par la recherche d'un idéal esthétique, Christophe va débuter une série de reproduction de toiles d'artistes plus ou moins connus et d'horizons très différents. Les incontournables seront pour lui les toiles de Tamara de Lempicka (artiste Polonaise des années 1930 d'influence néo-cubiste), mais aussi de grands classiques comme "La jeune fille à la perle", de Johannes Vermeer, "M. Bertin" de Jean-Auguste-Dominique Ingres, ou encore "Le désespéré" de Gustave Courbet.
Lorsqu’il découvre le dessin, Christophe tombe sous le charme des portraits photoréalistes. Touché par la perfection des portraits réalisés au crayon graphite, la beauté et la profondeur des regards l’attirent au point de consacrer de nombreuses heures à la réalisation de portraits qui tendent bientôt vers une esthétique photographique.
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